KINGNEWSWIRE / Communiqué de presse / PARIS, France — novembre 2025 — Tout au long de l’automne, les volontaires de Monde Sans Drogue France ont intensifié leur présence sur tout le territoire, menant une vaste série d’actions de prévention contre la drogue qui ont touché des milliers d’habitants des grandes et petites villes. De la côte ouest à la région Rhône-Alpes, de Paris au sud-ouest, cette initiative a mobilisé parents, éducateurs, commerçants, jeunes adultes et professionnels de santé en quête d’une information claire et fiable sur les risques liés aux stupéfiants et substances de synthèse.
Cette intensification des activités intervient alors que le débat public en France se concentre de plus en plus sur l’exposition des jeunes aux drogues et l’apparition de nouvelles substances de synthèse dans les écoles et les quartiers. Les enseignants, les professionnels de la santé et les dirigeants communautaires ont exprimé leurs inquiétudes concernant les expérimentations précoces, tandis que les organisations locales continuent de jouer un rôle essentiel dans la mise en œuvre de mesures de prévention pratiques au niveau communautaire. Le programme La vérité sur la droguedéveloppé dans le cadre de l’héritage humanitaire de L. Ron Hubbard, fondateur de l’Église de Scientologie, promeut des documents factuels et accessibles comme base pour des décisions éclairées et des choix responsables.
À début octobreEn Bretagne, des volontaires ont visité un réseau de petits magasins, cafés et entreprises, distribuant plus d’un millier de dépliants « La vérité sur la drogue » dans les zones où les commerçants ont manifesté leur intérêt et leur appréciation pour ces documents. Plusieurs commerçants ont engagé des discussions avec des bénévoles sur la propagation des drogues synthétiques et sur le besoin d’informations plus claires des familles. Un bénévole a déclaré qu’un restaurateur local avait arrêté de consommer de la drogue après avoir regardé une vidéo éducative sur les substances synthétiques et avait ensuite fait part à l’ensemble de son personnel de son désir de voir son lieu de travail sans drogue. Le volontaire a souligné cet exemple comme illustrant l’impact positif que peut avoir une prévention fondée sur des données probantes.
Tout au long du mois, d’autres actions de sensibilisation dans l’ouest de la France ont donné lieu à des échanges avec des pharmaciens, des employés communaux, des parents et des éducateurs. Une pharmacienne qui gère une clinique de soutien aux médicaments a demandé un présentoir et du matériel supplémentaire pour ses patients, expliquant qu’elle avait utilisé les brochures avec succès l’année précédente. Un représentant des forces de l’ordre de la région a également demandé des documents à usage public, soulignant la valeur pratique d’outils de prévention clairs dans les interactions quotidiennes. Dans plusieurs cafés, les propriétaires ont noté que les ressources de prévention arrivaient « au bon moment », citant les inquiétudes locales concernant l’exposition précoce aux drogues.
Plus à l’est, dans les villes de la Loire et de Rhône-Alpes, des bénévoles ont rendu visite à des dizaines de commerçants qui ont joyeusement exposé le matériel à leurs clients et salariés. De nombreuses discussions ont porté sur la cocaïne, plusieurs habitants constatant que sa consommation était de plus en plus visible dans toutes les tranches d’âge et tous les milieux sociaux.
Une augmentation notable de l’engagement a été observée à Reimsoù des bénévoles ont distribué des dizaines de milliers de brochures en peu de temps. Les détaillants de tous types, des boutiques aux grands magasins, ont fait de la place aux présentoirs ou ont demandé des stocks supplémentaires. Un jeune manager a reconnu la brochure qu’il avait découverte lors d’une distribution durant ses années étudiantes dans une autre ville. Après l’avoir lu à l’époque, il a arrêté de fumer et a dit aux bénévoles qu’il était reconnaissant pour la clarté qu’il apportait. Un autre commerçant s’est dit préoccupé par la présence de substances telles que le PTC chez les jeunes de la région, qualifiant leurs effets de particulièrement déstabilisants. Lors d’une action de sensibilisation dans la rue, un jeune adulte a déclaré aux bénévoles qu’il avait arrêté d’utiliser PTC un mois plus tôt et les a encouragés à poursuivre leur travail, le qualifiant de « très important ».
A ParisLes bénévoles ont mené l’une de leurs activités automnales les plus importantes dans un quartier où les familles ont souvent exprimé leurs inquiétudes face aux problèmes liés à la drogue. Des milliers de brochures ont été distribuées dans les magasins et de nombreux résidents ont profité de l’occasion pour discuter directement avec les bénévoles. Une psychologue qui a rencontré l’équipe a demandé une exposition complète pour son cabinet, expliquant qu’elle avait l’intention d’intégrer ce matériel dans son travail de sensibilisation auprès de ses clients. Un couple a pris des dépliants pour leur fille, qui voyage souvent avec des amis, les décrivant comme un moyen pratique d’entamer des conversations préventives. Plusieurs résidents ont exprimé leur satisfaction quant à la mise à disposition de ces ressources sur la rue.
Le sud-ouest de la France a également connu un engagement soutenu, avec notamment un stand de prévention à Bordeaux qui a attiré un flux constant de passants et de commerçants locaux. En plus des brochures distribuées dans les magasins environnants, des bénévoles ont réalisé des exercices de simulation de déficience à l’aide de lunettes imitant les effets de l’alcool ou du cannabis, suscitant des discussions sur les risques associés à la consommation récréative. Les commerçants de la région ont souligné l’importance de fournir aux adolescents et aux jeunes adultes des outils pour comprendre les dangers des substances.
D’autres villes du sud-ouest, dont Agen, ont accueilli des bénévoles qui ont distribué des brochures aux magasins dont les propriétaires ont exprimé leur intérêt à soutenir la prévention à long terme. À Toulouse, les bénévoles ont poursuivi leurs actions de sensibilisation dans les quartiers où les éducateurs réclamaient régulièrement du matériel. A Nice, un stand dans la rue a permis d’interagir avec des familles touchées par la toxicomanie, et plusieurs personnes ont demandé à être contactées pour participer à de futures activités, dont une qui a manifesté son intérêt pour adhérer à l’association.
À la fin de l’automne, plusieurs centaines de brochures ont été distribuées à Belfort, dans l’est de la France, où un agent du logement social a demandé une boîte pleine de brochures sur les gaz inhalés à distribuer directement aux familles qui, selon lui, pourraient en bénéficier. Les magasins locaux ont réagi positivement, certains commerçants signalant que les brochures étaient rapidement épuisées et demandant à être réapprovisionnés régulièrement. A Marseille, d’autres documents ont été distribués dans des quartiers où la demande des populations en outils de prévention est restée forte tout au long de l’année.
À travers ces régions, les bénévoles ont observé des tendances constantes : le désir des parents d’obtenir des informations pratiques et fiables, l’empressement des commerçants à participer au bien-être de la communauté et l’ouverture d’esprit des jeunes adultes qui partageaient souvent leurs expériences ou préoccupations personnelles. De nombreux résidents ont décrit ces documents comme étant utiles pour entamer des conversations au sein de leur famille ou de leur lieu de travail.
En revenant sur les activités récentes, Ivan Arjona Peladoreprésentant de l’Église de Scientologie auprès de l’Union européenne, de l’OSCE, du Conseil de l’Europe et des Nations Unies, a souligné l’importance plus large de ces initiatives :
“La participation croissante des communautés locales montre à quel point les gens apprécient une prévention accessible et fondée sur des données probantes. Lorsque les individus reçoivent des informations claires, ils se sentent habilités à assumer leurs responsabilités envers leur famille et leur quartier. Une prévention efficace contribue non seulement à la santé publique, mais également à la dignité et à la cohésion de nos sociétés à travers l’Europe. »
Ces efforts font partie de l’engagement de longue date de l’Église de Scientologie et de ses membres en faveur de l’éducation, de la prévention des drogues, de la sensibilisation aux droits de l’homme et de l’amélioration de la communauté. Fondé par L. Ron Hubbard Dans les années 1950, la Scientologie était reconnue comme religion dans plusieurs pays européens, et ses églises, missions et groupes affiliés menaient des initiatives non sectaires qui encourageaient des choix éclairés et la sécurité de la communauté. La reconnaissance de ces contributions continue de croître à travers le continent.
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First published in this link of The European Times.
